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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 11:09

IMGP2170 - Copie - Copie

 Améliorer sa performance est la finalité de l’entreprise qui est un lieu où l’on fait du profit et où l’on cherche à attirer les meilleurs. Or la qualité de l’environnement professionnel est devenue le premier facteur de choix du jeune recru.  Un management éthique, respectueux d’autrui, est non seulement possible mais aussi rentable.

 

L’éthique n’est pas la morale. L’éthique soutient une intention dans sa visée. L'intention permet de ne pas confondre moyens et finalités.


La dimension éthique de l’entreprise ne concerne pas que les grands groupes et n’est pas synonyme de charte de développement durable rédigée par une agence de communication.
La dimension éthique de l’entreprise, quelque soit sa taille, se vit d’abord dans les pratiques de management :
Un réel développement de l'éthique dans les pratiques de management implique une approche associant la théorie à l'expérience des professionnels.

L'enjeu  est important puisque l'éthique intervient de façon positive sur toutes les dimensions du management :

  • Culture d'entreprise, valeurs partagées, cohésion d'équipe
  •  Gestion des objectifs à long terme, éthiques et stratégies
  •  Aide à l'analyse / décisions à enjeu fort
  •  Résolution des conflits par la discussion et le consensus
  •  Prise en compte du point de vue des différents acteurs
  •  Responsabilisation des salariés en visant l'autonomie


Un manager soucieux de l’éthique :

  possède une capacité à se remettre en question

  a le sens de l’écoute
  accompagne ses équipes vers leur autonomie

  renforce le lien et suscite la confiance


La dimension éthique est plus facilement présente si  chacun trouve et intègre le SENS de son rôle dans le tout. Quelle est ma contribution personnelle à la valeur globale?  Comment la valeur et donc les valeurs définies dans l’entreprise me parle?

 

Le développement de la confiance des responsables envers leurs équipes, de la communication authentique et du respect de soi par le sens et les valeurs  sont les vecteurs de croissance d'une dimension éthique, créatrice de valeurs durables.

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 14:56

       montee,7205-11

 

Créer la  richesse du 1 + 1 > 2                                                                                                 

Comment accroître son efficience économique et donc sa rentabilité  en donnant aux équipes la possibilité de créer elles-mêmes de la richesse par une interactivité possitive?

 

Créer l'intelligence collective dans son entreprise, c'est permettre à chacun de comprendre à quoi sert sa tâche, son action dans l'ensemble du process. C'est voir le lien qu'il y a entre son action et celle des autres. Dans le processus complet des achats à la vente en passant par l'approvisionnement, le stockage, la chaîne de fabrication, et la livraison chaque élément, chaque action a un impact sur le suivant. Chaque élément fait parti d'un tout et permet de répondre à la demande du client. Les acteurs de ce process sont eux aussi directement liés au process et leurs actions quotidiennes, si elles ne sont pas comprises dans leur ensemble, engendrent une perte de rentabilité.

 

Créer le lien, le respect des tâches élémentaires pour tisser le sens du processus global est essentiel. Etre conscient que son travail est terminé pour soi mais la façon dont il est réalisé va avoir une grande incidence sur le travail de celui qui est en aval. Et si le rapport, le lien que la personne à n'est  pas très positif avec cette autre, va-t-elle avoir envie de tout faire pour lui faciliter son rôle?

Créer l'intelligence collective, c'est donc aussi lever les ambiguités, les non-dits, les freins psychologiques entre les personnes et restaurer la confiance et la compréhension du TOUT.

 

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13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 09:27

 

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La solitude est un aspect clé de la fonction de dirigeant.


Je constate très fréquemment dans mon métier que  les dirigeants, quel que soit le succès ou les difficultés de leur business traversent des phases d’interrogation et de solitude profonde.
Face aux prises de décisions, aux multiples problèmes quotidiens, le dirigeant est souvent face à lui-même, vit des situations de stress en solitaire.


La solitude est une question sensible car elle touche l’intimité de l’individu, son jardin secret et c’est pour cette raison qu’on n’en parle pas volontiers. Les sentiments sont d’ailleurs très mélangés à son égard, voire ambivalents. Les moments de solitude peuvent être considérés comme des moments privilégiés et précieux où l’on se retrouve avec soi-même, hors du regard de l’autre. Mais la solitude est aussi un lieu de malaise, de culpabilité, lieu où on expérimente des réactions intimes qui peuvent nous surprendre !


Seul à la tête de la hiérarchie, le dirigeant n’a pas de pairs avec qui échanger, confier ses doutes et ses interrogations. En plus, ce lieu de pouvoir est un lieu privilégié pour les projections imaginaires des autres. Le ‘’patron’’ incarne l’image de l’autorité dont les collaborateurs dépendent, et cette image revoie à l’image paternelle chargée d’affects ! Double raison de ressentir cette solitude ! Et même si cela est un phénomène universel, être seul face à des décisions importantes à prendre, à des risques inhérents… est une position pas toujours facile à vivre.


Etre dirigeant, c'est souvent être face seul à de multiples interrogations, par exemple:
•    En qui ai-je confiance ?
•    Que faire des meilleurs talents ?
•    Recruter à tout prix ? Ou attendre?
•    A qui confier cette mission ?
•    Se focaliser sur les problèmes ou les opportunités ?
•    Comment faire passer ma stratégie ?
•    Comment faire en sorte que mes collaborateurs partage ma vision?
•    Définir d'abord le poste ou d'abord recruter le talent ?
•    Gérer les paradoxes ou les accepter ?
•    Quel style de management adopter?
•    Les doutes sont-ils acceptables ? et comment les gérer ?
•    Comment optimiser les relations aux employés, aux associés ?
•    Changer ou déplacer un collaborateur ?
•    Comment réguler et résoudre certains conflits ou blocages ?
•    Ou trouver du temps ?

Dans ce contexte, pouvoir échanger avec des personnes extérieures à l’entreprise permet de prendre du recul et de trouver  des clés ouvrant des perspectives nouvelles.

L’accompagnement opérationnel de dirigeant prend alors tout son sens, celui de révéler des ressources et des talents qui pouvaient être cachés, permettre d’explorer et mettre en œuvre des stratégies nouvelles, trouver des appuis internes ou externes à l’entreprise pour avancer, résoudre des problématiques plus ou moins anciennes avec un regard neuf, retrouver le chemin de la croissance dans un contexte chahuté…

Le coach apportera à l'entrepreneur une démarche de co-construction pour l'aider à faire le point, à faire émerger ce qui est en lui, à hiérarchiser ses priorités, dépasser ses obstacles, et optimiser ses propres ressources.


C'est une formidable opportunité de prendre du recul sur soi et de revisiter ses enjeux.

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 15:01

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Considérons le rôle que jouent  la sécurité ontologique du dirigeant, celle des collaborateurs et des équipes dans l’efficience économique des entreprises et plus largement dans la société économique.


Le terme ontologique a trait à ce qui concerne l’être, le fait d’exister. La sécurité ontologique fonde le mécanisme de construction de l'identité de soi. C’est un sentiment de confiance en la sécurité de l’être dans la fiabilité des personnes et des choses. Cette sécurité est un socle, une base solide permettant de ne pas être déstabilisé face à son environnement, de rester centré, à l’écoute de ce que procure l’extérieur et d’agir dans le respect de soi et de l’autre plutôt que de réagir selon ses mécanismes de défenses. 

Mon vécu managérial m’a montré combien les actions des hommes naissent le plus souvent de leur crapaud, cette partie de blessures et de fragilité mise en exergue par John Pierrakos.  Les relations humaines au niveau du crapaud viennent malheureusement détourner le contact avec le prince en nous et en l’autre, cette partie représentant l’Être, notre confiance intérieure, notre cœur et notre potentiel infini. Les conséquences négatives à cela sont nombreuses : L’homme coupé de son Être se prive des liens authentiques essentiels à la création et à la réalisation de soi. Il vise l’accumulation dans le ‘’faire’’ et le ‘’toujours plus’’, et croit grandir en exerçant sa capacité de lutte et de pouvoir sur son environnement.
Le très court terme prévaut sur un long terme oublié pour satisfaire un égo pressé et affamé de rentabilité immédiate. Le gaspillage à tout niveau est grandiose : des études partent à la poubelle sitôt terminées par une équipe, des investissements deviennent obsolètes à peine terminés, les hommes perdent sens et motivation.


Ce manque de sécurité ontologique n'engendre t-il pas un manque à gagner économique et social durable ?  L’humain n'est-il pas au service du financier ? Et ne vivons-nous pas le contraire ?

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 15:22

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Le Cabinet de Coaching ETIKESENS vous offre une occasion unique de marier détente et bien-être avec travail sur soi en profondeur dans un lieu magique.

 

WEEK-END du 4 et 5 février 2012

Débusquez vos fantômes conceptuels pour atteindre vos objectifs

 

En Haute Savoie, à Passy, face au Mont-Blanc, vous ressourcerez corps et esprit durant 2 jours de stage suivi d’un séjour optionnel à la montagne (ski, raquettes…)

 

‘’Ce qui est semblable attire à soi ce qui lui ressemble’’ Cependant, si vous rêvez et vivez sous l’emprise de vos ‘fantômes conceptuels’, vous obtenez précisément ce qu’ « ils veulent ». 

 

Le stage animé par le Docteur Prabha Calderon et Bruno Maillard (www.prabha-calderon.com) est conçu dans le but de découvrir ce dont nous avons vraiment besoin et d'apprendre à mettre en oeuvre nos ressources pour obtenir la réalisation de nos objectifs.

Nous avons naturellement les moyens d’atteindre nos objectifs. Cependant, les mécanismes inconscients d’auto-sabotage qu’entretiennent nos ‘fantômes conceptuels’ nous entravent et nous empêchent de focaliser notre attention sur nos vrais besoins, dans le but d’atteindre nos objectifs essentiels.   

« De la motivation à l’accomplissement de soi »
Nous avons naturellement les moyens d’atteindre nos objectifs. Cependant, les mécanismes inconscients d’auto-sabotage qu’entretiennent nos ‘fantômes conceptuels’ nous entravent et ils nous empêchent de focaliser notre attention sur nos vrais besoins, dans le but d’atteindre nos objectifs essentiels.
Laissez aller vos doutes... prenez confiance en vous

Arrêtez de vous juger et de vous culpabiliser

Ecoutez vos désirs essentiels

Lâchez vos béquilles et constatez que vous pouvez marcher de façon autonome

Objectifs de ce Stage :
Ce Stage est conçu dans le but de découvrir ce dont vous avez vraiment besoin et d’apprendre à mettre en œuvre vos ressources pour obtenir la réalisation de vos objectifs.
Pour incarner pleinement votre autonomie d’adulte, Prabhã et Bruno Maillard vous proposent un puissant processus « d’Autoquestionnement selon l’Approche Quantique » ; une pratique par laquelle  vous allez ‘débusquer vos fantômes conceptuels’ pour reconnaitre votre nature ineffable, pour cesser de vous auto-saboter et pour vivre pleinement vos élans.

Programme de ce Stage :
- La connaissance de nos six besoins.
- Le dévoilement de nos neuf auto-saboteurs dont le vôtre ou les vôtres.
- la pratique de l’Autoquestionnement et le démantèlement de vos ‘fantômes conceptuels’.
- Méditations et contemplations Quantiquesafin de percevoir vos ressources intérieures.

À qui s’adresse ce Stage :
>
A toute personne qui veut vivre pleinement.
> A toute personne qui veut arrêter de se saboter en s’autolimitant.

 

 informations et inscription par mail via contact sur ce blog -

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 14:16

A venir

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 14:05

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L’intelligence émotionnelle est un ensemble de savoir-faire comportementaux et cognitifs indispensables pour augmenter la maîtrise du contrôle émotionnel et particulièrement dans les processus de changement. 

La base de l’intelligence émotionnelle repose sur la connaissance de soi.  Le ‘’ Connaît toi, toi même ‘’ de Socrate et le discours inductif, l’exploration et le questionnement des émotions permettent d’enrichir les connaissances sur les croyances qui font agir au travers des processus automatiques. L’identification et le questionnement des représentations, source d’une partie des émotions, vont permettre d’assouplir le contrôle émotionnel. La motivation, condition nécessaire au changement, est aussi une composante déterminante de l’intelligence émotionnelle.

Pour le leader, le manager, être conscient de cet impact émotionnel et ensuite savoir le gérer est une grande richesse. C'est synomyme d'une belle empathie qui passe par une disponibilité, par le fait d’accepter de ‘’perdre son temps’’ pour comprendre et écouter les autres. Ses émotions sont alors placées au cœur du processus stimulus-réponse, ce qui revient à développer son intelligence émotionnelle.

Le rôle du manager est de créer les conditions pour que les collaborateurs donnent le meilleur d’eux-mêmes et apprennent à travailler dans un esprit de coopération et non de compétition. Ce n’est qu’en développant son intelligence émotionnelle qu’il pourra être à même de détecter les jeux relationnels et déjouer les jeux de pouvoir en y trouvant du confort.

Changer, c’est modifier son savoir-être en passant au crible ses croyances comme autant de boucles répétitives qui gênent l’accès à une autre représentation de la réalité et aux qualités essentielles que nous portons. C’est ouvrir son cadre de référence à celui des autres.

C'est un changement systémique de type II (selon l’école de Palo Alto) qui est défini comme un changement qui peut-être modeste mais radical. C’est un changement du système dans sa structure et ses interactions. C’est voir l’iceberg sous la ligne de flottaison. Cela suppose d’aller voir son besoin profond, le traiter directement et décider de sa vie.

L’entreprise est encore pleine de donneurs d’ordre et de contrôleurs affligés d’une sécurité intérieure insuffisante.

Se limiter au simple changement de structures, de stratégies,  n’aura aucun effet sur l’efficience économique recherchée.

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 12:42

Viser l'efficience globale, c'est aussi réfléchir sur soi et si besoin changer certains de ses comportements dans l'entreprise, face aux autres (ses collaborateurs et toutes les parties prenantes).

ieestime

’     

          '' Les meilleurs sont ceux qui cherchent dans l’entreprise

            non pas une finalité mais un lieu pour développer leur

            propre potentiel’’.                                       Maslow

   Changer ses comportements, c'est changer ses croya nces

 

Sortir de ses croyances et ainsi changer ses comportements passe par le développement de son intelligence émotionnelle: Se reconnecter à ses émotions, éviter les généralisations, retrouver l’expérience dans son histoire, qui est à l’origine de la croyance.  Les émotions sont au cœur des comportements défensifs et donc au cœur du changement.

 

 Par exemple pour éviter d’être confronté aux discours moralisateurs de mon chef que je connais bien et perdre mon temps, je ne vais pas à sa rencontre pour lui soumettre ma demande et je renforce mon comportement d’évitement qui est dû à des émotions anticipatoires. Eviter cette confrontation, c’est éviter de toucher mes émotions négatives. Il y a un renforcement interne du comportement contenu dans la croyance.

  L’émotion permet de repérer la croyance puisqu’il y a une  dépendance forte entre les deux. Car une partie de nos émotions nait de l’interprétation et de la croyance des conséquences potentielles de la situation. Les croyances de chacun forment avec l’image  de soi le noyau de la personnalité et le ressort de la vie émotionnelle. C’est cet ensemble qui est réactivé quand une situation se présente.

  Le manager  apprend à distinguer la place des émotions dans le changement et comprend les différents paramètres qui interfèrent avec les émotions dans les processus de changement. Tout changement même considéré comme positif possède un coût émotionnel et peut déclencher le frein au changement. Il n’y a de changement sans une bonne lecture et une prise en compte de ses émotions.

 

Devenir soi-même, c’est changer

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30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 14:17

 

 

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Nos services et prestations sont présentés sur le site www.etikesens.com

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 11:59

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L'efficience globale passe à la fois par un changement de paradigme économique et par un développement de conscience des leaders.

- Prise de conscience sur une ouverture du champ des possibles, sur de nouveaux modèles de croissance et de management  pour connaitre l'efficience globale et pérenne où la vision partagée devient plus stratégique que le profit court terme.

- Retrouver du sens au développement économique par le chemin du retour au savoir-être. L'homme uniquement gouverné par son savoir faire perd sens et valeur.

- Redonner envie et motivation pour retrouver la performance. Construire une logique d’intelligence collective, qui seule permettra à l’entreprise de se centrer réellement sur les besoins du client, de vaincre la lourdeur de la bureaucratie, de combattre l’arrogance victime du syndrome du succès qui ne peuvent percevoir les signaux légers qui leur parviennent

En réunissant économie et humanisme, performance de l'entreprise et épanouissement des individus, nous avons de nouveaux repères permettant d’orienter la stratégie des organisations vers une évolution pérenne pour un véritable leadership éthique.

 

C’est en s’appuyant sur son intelligence globale et sur le sens de ses actions que l’homme peut recréer sa capacité de choix, se réinventer et trouver son chemin de VIE.

 

C'est par l'intelligence collective que l’organisation peut connaitre une efficience globale.

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  • : Le blog d'Annie MEJEAN
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  • je suis coach et consultante en entreprise. Retrouvez moi sur www.etikesens.com
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